À propos

La question inévitable : qui êtes-vous ?

Je suis une amoureuse des mots. À lire, à dire, à écrire...
J’en ai d’ailleurs fait mon métier. Je suis conceptrice-rédactrice dans la communication depuis de nombreuses années. En une phrase ou en quelques pages, j’ai appris à convaincre, informer, séduire, faire rêver, mentir un peu... Avec eux, je m’amuse.

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Qu’est-ce qui vous a poussé à franchir le pas ?

Tous les livres que j’ai lus ! Les mots, c’est encore là que je les préfère. Me laisser porter par les romans des autres est une drogue. Depuis que je suis petite, ils sont des refuges, des inspirations, des distractions. Ceux qui sont aujourd’hui dans ma bibliothèque sont mes amis et je suis heureuse de les avoir eus entre les mains. La Comtesse de Ségur, Agatha Christie, Émilie Brontë, Daphné du Maurier, Milan Kundera, Tonino Benacquista, Virginie Grimaldi, Benoit Philippon... Pour n'en citer que quelques uns ! Ils m’ont fait rêver, ils m’ont fait voyager, ils m’ont inspirée, ils m’ont fait rire, ils m’ont émue aux larmes, ils m’ont reboostée quand je n’avais pas trop le moral, ils m’ont redonné des pistes quand je m’essoufflais. C’est beau, c’est fort. Un vrai bel impact. À partir de là, il y a eu comme une évidence : et si moi aussi, avec mes mots, je pouvais faire du bien ?

 

Parlez-nous de votre premier roman...

L’histoire en trois lignes ? Une femme, à bout de souffle, voit sa vie s’effondrer lorsqu’elle apprend, la veille de ses vacances, que son mari la trompe. Elle décide alors de partir seule avec ses enfants. Trois semaines d’été. Vingt et un jours. C'est le temps dont elle dispose pour se reconstruire, reconstruire sa vie et peut-être reconstruire son couple.

 

Parlez-nous du second roman...

(Rires) Il est au stade embryonnaire mais j’ai déjà le sujet, les personnages clés, leurs prénoms. Pour moi, c’est plutôt bon signe, maintenant, il va me falloir quelques mois pour lui donner vie !